Écrire un article… une dizaine de pages. En théorie, ça a l’air simple ! Vous avez collecté des données médicales pendant 2 ou 3 ans, il ne reste « plus qu’à» les analyser et écrire. Et pourtant, nombre de pièges se dressent encore entre vous et la publication.
La première étape est de clairement définir ce que vous cherchez, et ensuite de réfléchir à comment le montrer. Vous n’imaginez pas le nombre de fois ou un médecin est rentré dans mon bureau (à l’époque où j’étais statisticien), m’a présenté des données… dont on ne pouvait absolument rien faire parce que certaines variables clés n’avaient pas été mesurées (ou mal). «Mais on a mis 3 ans à tout collecter ?!?!?» Cela ne change rien au fait qu’une étude mal ficelée au début ne sera pas analysable à la fin.
Les revues et reviewers sont de plus en plus exigeants. Et plus le niveau de la revue est élevé, plus les statistiques devront être impeccables et de haut niveau. À ce stade, il convient donc de distinguer deux types d’article :
10-20 pages, ça n’a l’air de rien. Et pourtant, c’est très compliqué à écrire. Les super auteurs font en moyenne deux pages par jour. Parce que c’est une chose d’avoir des idées claires, c’en est une autre que de les rendre accessibles et compréhensibles des collègues. Autre difficulté, il vous faut intégrer les statistiques et graphiques pertinents dans l’article. En premier lieu, il vous faut faire le tri (car vous avez probablement plus de stats et de graphes que nécessaire pour l’article) puis il vous faut les exporter de votre logiciel vers votre article. En général, c’est également à ce stade qu’il vous faut dresser la chronophage table 1, le tableau de comparaison des groupes.
Dans R++, tout est orienté « publication d’article ». Nous avons fait notre maximum pour répondre aux trois questions ci-dessus.
Certes, R++ ne peut pas faire le design à votre place. Mais pour néanmoins vous aider, nous avons intégré un module de « calcul du nombre de sujets nécessaire ». Avant même de collecter vos données, choisissez le test qui vous convient, renseignez les informations attendues et le nombre de sujets nécessaires est calculé automatiquement. Cela vous donnera une bonne idée de la faisabilité de l’étude, ou du besoin de recommencer le design si le nombre de sujet n'est pas réaliste.
L’analyse statistique est le cœur de R++. Tout est fait pour vous donner simplement accès aux statistiques dont vous avez besoin (celles qu’on trouve dans les articles médicaux, ni plus, ni moins), et cela de manière simple et intuitive. Nombreux témoignages mentionnent des gains de temps impressionnant obtenus grâce à R++, Isabelle Sourrouille (témoignage vidéo ci-dessous) parle carrément d’un facteur 10. Et plus encore, R++ est tellement simple que faire des stats, généralement considéré comme la chose la plus pénible dans la production d’un article, devient ludique. Là encore, ça n’est pas de nous, c’est nos clients qui l’affirment (vidéo ci-dessous).
Enfin, quand vous avez vos résultats, il n’est pas toujours simple de les intégrer dans l’article. Avec R++, un simple copier-coller ou un simple glisser-déposer suffit. Quant à la table 1, elle est automatique : sélectionnez la variable groupe, puis cliquez sur toutes les variables que vous voulez en ligne. La table 1 est terminée, prête à être intégrée.
Avec R++, ne laissez plus dormir les données.
Quelque soit votre niveau en statistique, n’hésitez pas à le tester gratuitement pour
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Avant l’étude, R++ permet de calculer le nombre de sujets nécessaires. Quand les données sont collectées, vous pouvez faire vos stats (à peu près toutes les stats dont on a besoin en médecine) très rapidement. Enfin, l’export des résultats depuis R++ vers la suite Microsoft (Word par exemple) se fait par copier-coller, ou simple glisser-déposer.
Quand vous faites un copier-coller d’un tableau vers Word ou vers Excel, R++ utilise le format HTML (le même format que les sites web). Cela permet de conserver la structure initiale de l’objet copié. Par exemple, si vous copiez un tableau de 3 lignes et 5 colonnes, alors il aura aussi 3 lignes et 5 colonnes dans la suite Microsoft.
Si un tel truc existait, ça se saurait. Ceci étant dit, pendant ma carrière de chercheur, il m’est arrivé quelque chose d’original : j’ai créé kml3d, une librairie qui permet de faire des trajectoires en 3D puis d’intégrer le graphique 3D dans du pdf. Petite cerise sur le gâteau, le graphe 3D «bouge» dans le PDF : vous pouvez l’attraper avec votre souris et changer de point de vue. C’est très impressionnant. J’ai soumis 3 articles avec des graphes 3D dynamiques. TOUS ont été acceptés dès la première soumission… 3, ça n’est pas assez pour faire des stats, les stats ça commence avec 5 sujets. Mais si j’avais eu le droit de faire des stats, j’aurais dit que «100% des articles contenant un graphe 3D dynamique sont acceptés dès la première soumission…»
C’est simple d’utilisation et ludique. Ça vous fait gagner énormément de temps. Il ne faut pas hésiter !
Ça fait gagner un temps énorme. On y passe peut-être 10% du temps.
Je suis nulle en stats, je déteste les stats. R++, ça m’a (presque) fait aimer les stats.
Vous avez du mal à y croire ? Vous voulez vous rendre compte par vous même ? Ou vous êtes simplement curieux de voir comment l'IHM peut révolutionner les statistiques ?
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